Les jeunes générations changent la donne en matière d'investissement en bourse. Cette tendance a débuté pendant la crise sanitaire et ne cesse de croître. Aujourd'hui, près de 40 % des nouveaux investisseurs sur les marchés financiers ont moins de 35 ans.
Selon les données de l'AMF (Autorité des marchés financiers), 40 % des nouveaux acteurs sur le marché boursier ont moins de 35 ans. Du côté de la FSMA, en 2019, 5 500 jeunes de moins de 30 ans ont rejoint les rangs des investisseurs. Ce chiffre a connu une forte hausse en 2021, atteignant 12 800. En 2023, les jeunes investisseurs représentent 14 % des nouvelles arrivées sur le marché boursier.
Quelle est la raison de l'enthousiasme des jeunes pour des investissements qui ont traditionnellement effrayé les épargnants français ? Il se peut que leur hostilité au risque soit moins marquée, et ils voient l'investissement financier comme une manière de se préparer à l'avenir, surtout dans un contexte incertain notamment concernant le système de retraite.
À l'inverse, la part des 45-54 ans est passée de 20 % à 13 %, indiquant une tendance à la baisse qui se confirme également pour les catégories d'âge plus avancé. Cette partie de la population détient moins d'actions, représentant 7,6 % en 2023, par rapport à 8 % l'année précédente. Après s'être éloignés de la Bourse en 2008 et lors de la crise des dettes souveraines, de nombreuses personnes ont été marquées par ces crises récurrentes.
Les restrictions et autres distanciations sociales ont eu un impact direct sur la vie quotidienne de la jeune génération, limitant les possibilités de voyages, de loisirs et de rencontres en face à face. Cette situation a incité nombre d’entre eux à chercher des moyens de passer le temps.
Ils ont pu découvrir des sujets auxquels ils ne se seraient pas intéressés en temps normal. Le monde de la bourse en est le parfait exemple. C'est dans ce contexte particulier que l'investissement en Bourse est devenu une option attrayante pour la Gen Z. L'accès simplifié aux plateformes de trading en ligne a été un facteur clé dans le développement ces dernières.
Dorénavant, ces plateformes sont conçues pour être conviviales et accessibles aux plus grands nombres, même de parfait néophyte en la matière peuvent s’essayer au trading. De plus, de nombreuses plateformes offrent des applications mobiles, permettant ainsi aux utilisateurs de suivre les marchés financiers et de passer des ordres depuis n'importe quel endroit et à tout moment.
Les jeunes ont également profité de la profusion de contenues éducatifs sur la toile pendant la pandémie. De nombreux sites web, blogs, chaînes YouTube et même une tonne de formation (attention les arnaques) qui ont accessibilisé les bases de l'investissement en Bourse, les stratégies d'investissement et les analyses de marché. Tout ça a aidé les jeunes à comprendre que ce n'était pas si sorcier et à se sentir plus à l'aise pour se lancer.
Les jeunes investisseurs ont été particulièrement attirés par l'idée de pouvoir investir même avec de petits montants. Cette tendance a été grandement facilitée par l'émergence d'applications de trading en ligne (Etoro, XTB). Ces applications offrent une fonctionnalité appelée "investissement fractionné" ou "fractionnement d'actions".
Le fractionnement d'actions permet aux investisseurs d'acheter une fraction d'une action plutôt que l'action entière. Tu peux désormais investir 10 euros, ou même 1 euro dans une action. Avant l'avènement de cette technologie, les investissements en actions nécessitaient généralement l'achat d'une action complète, ce qui pouvait être coûteux, surtout pour les jeunes ayant des budgets limités.
Enfin, il convient de souligner l'avantage majeur des actions fractionnées : la diversification. En augmentant le nombre de titres dans lesquels vous pouvez investir avec un montant donné, vous pouvez renforcer à la fois la diversification numérique et géographique de votre portefeuille.
Mais attention un autre aspect à prendre en compte concerne les fractions d'actions, ils comportent un risque de crédit. En cas de difficultés financières ou de faillite de l’émetteur, il se peut qu'il ne puisse pas respecter ses engagements. Il est donc essentiel de vous informer préalablement sur la santé financière de l'émetteur avant de prendre une décision d'investissement.
Selon les données de l'AMF (Autorité des marchés financiers), 40 % des nouveaux acteurs sur le marché boursier ont moins de 35 ans. Du côté de la FSMA, en 2019, 5 500 jeunes de moins de 30 ans ont rejoint les rangs des investisseurs. Ce chiffre a connu une forte hausse en 2021, atteignant 12 800. En 2023, les jeunes investisseurs représentent 14 % des nouvelles arrivées sur le marché boursier.
Quelle est la raison de l'enthousiasme des jeunes pour des investissements qui ont traditionnellement effrayé les épargnants français ? Il se peut que leur hostilité au risque soit moins marquée, et ils voient l'investissement financier comme une manière de se préparer à l'avenir, surtout dans un contexte incertain notamment concernant le système de retraite.
À l'inverse, la part des 45-54 ans est passée de 20 % à 13 %, indiquant une tendance à la baisse qui se confirme également pour les catégories d'âge plus avancé. Cette partie de la population détient moins d'actions, représentant 7,6 % en 2023, par rapport à 8 % l'année précédente. Après s'être éloignés de la Bourse en 2008 et lors de la crise des dettes souveraines, de nombreuses personnes ont été marquées par ces crises récurrentes.
Les restrictions et autres distanciations sociales ont eu un impact direct sur la vie quotidienne de la jeune génération, limitant les possibilités de voyages, de loisirs et de rencontres en face à face. Cette situation a incité nombre d’entre eux à chercher des moyens de passer le temps.
Ils ont pu découvrir des sujets auxquels ils ne se seraient pas intéressés en temps normal. Le monde de la bourse en est le parfait exemple. C'est dans ce contexte particulier que l'investissement en Bourse est devenu une option attrayante pour la Gen Z. L'accès simplifié aux plateformes de trading en ligne a été un facteur clé dans le développement ces dernières.
Dorénavant, ces plateformes sont conçues pour être conviviales et accessibles aux plus grands nombres, même de parfait néophyte en la matière peuvent s’essayer au trading. De plus, de nombreuses plateformes offrent des applications mobiles, permettant ainsi aux utilisateurs de suivre les marchés financiers et de passer des ordres depuis n'importe quel endroit et à tout moment.
Les jeunes ont également profité de la profusion de contenues éducatifs sur la toile pendant la pandémie. De nombreux sites web, blogs, chaînes YouTube et même une tonne de formation (attention les arnaques) qui ont accessibilisé les bases de l'investissement en Bourse, les stratégies d'investissement et les analyses de marché. Tout ça a aidé les jeunes à comprendre que ce n'était pas si sorcier et à se sentir plus à l'aise pour se lancer.
Les jeunes investisseurs ont été particulièrement attirés par l'idée de pouvoir investir même avec de petits montants. Cette tendance a été grandement facilitée par l'émergence d'applications de trading en ligne (Etoro, XTB). Ces applications offrent une fonctionnalité appelée "investissement fractionné" ou "fractionnement d'actions".
Le fractionnement d'actions permet aux investisseurs d'acheter une fraction d'une action plutôt que l'action entière. Tu peux désormais investir 10 euros, ou même 1 euro dans une action. Avant l'avènement de cette technologie, les investissements en actions nécessitaient généralement l'achat d'une action complète, ce qui pouvait être coûteux, surtout pour les jeunes ayant des budgets limités.
Enfin, il convient de souligner l'avantage majeur des actions fractionnées : la diversification. En augmentant le nombre de titres dans lesquels vous pouvez investir avec un montant donné, vous pouvez renforcer à la fois la diversification numérique et géographique de votre portefeuille.
Mais attention un autre aspect à prendre en compte concerne les fractions d'actions, ils comportent un risque de crédit. En cas de difficultés financières ou de faillite de l’émetteur, il se peut qu'il ne puisse pas respecter ses engagements. Il est donc essentiel de vous informer préalablement sur la santé financière de l'émetteur avant de prendre une décision d'investissement.
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